Les médecines alternatives sont apparues depuis des millénaires. Selon les chercheurs, elles auraient été utilisées par les Hommes préhistoriques pour se nourrir et, surtout, pour se soigner.

Aujourd’hui, malgré l’essor remarquable de la médecine conventionnelle et des sciences, la discipline attire un public de plus en plus large, séduit par ses innombrables bienfaits pour le corps et le psychisme. C’est, surtout, une façon de rester connecté avec la nature. De fait, les différentes branches de la médecine naturelle sont basées sur l’utilisation des plantes.

Qu’est-ce que la médecine alternative ? Quelle est son histoire ? Quelles sont les différentes pratiques qu’elle comporte ? Faisons le point ensemble.

Médecines alternatives : qu’est-ce que c’est ? Quelle est son histoire ?

Comme nous l’avons indiqué, les médecines alternatives se basent essentiellement sur l’utilisation des plantes et de leurs principes actifs. En France, elles sont désignées par le terme “médecines complémentaires” ou “thérapies alternatives” par le Conseil de l’Ordre des Médecins.

Malgré les bienfaits incontestables de ces pratiques, certains médecins restent plus ou moins sceptiques au sujet de la médecine douce. En effet, ils considèrent que peu d’études scientifiques ont été menées sur l’efficacité des médecines douces.

Il est clair, dans tous les cas, qu’aucune discipline ne saurait exclure l’autre : que ce soit la médecine alternative ou conventionnelle. Bien au contraire : elles peuvent être complémentaires, surtout si l’on prend en considération les vertus des différentes plantes médicinales. Elles peuvent, à titre d’exemple, alléger les symptômes des maladies graves et réduire les effets des thérapies lourdes comme la chimiothérapie.

L’histoire des médecines alternatives

La médecine occidentale a été profondément marquée par la théorie des humeurs d’Hippocrate de Cos. Plus tard, à l’époque médiévale, elle n’a pas échappé à l’influence de la médecine traditionnelle indienne – Ayurveda – et chinoise. Ces pratiques orientales assimilaient les parties du corps aux saisons, aux éléments de la nature et aux signes astrologiques.

Un intérêt croissant pour les médecines non conventionnelles

C’est entre la fin du XVIIe siècle et le XXe siècle que les médecines alternatives ont sérieusement commencé à faire parler d’elles en Europe. D’ailleurs, à l’époque, la moxibustion était très en vogue. Pour information, il s’agit d’une technique qui permet de stimuler les points d’acupuncture par la chaleur.

Plusieurs scientifiques européens ont mis en exergue leurs bienfaits. On pense, notamment, au naturaliste allemand Engelbert Kaempfer qui s’est consacré aux thérapies alternatives comme la moxibustion.

Les médecines non conventionnelles en France

En France, la médecine alternative attire un public de plus en plus large. Selon les informations collectées à partir d’une étude menée par l’Ordre des Médecins, 40 % des Français se sont dits “tentés” par cette discipline.

Les scientifiques ont aussi commencé à manifester un intérêt réel pour les traitements à base de plantes médicinales. Dans ce contexte, en 2013, l’Académie de Médecine Française a publié un rapport sur les thérapies complémentaires (taï-chi, hypnose, acupuncture, ostéopathie…) et leurs rôles en matière de soins.

L’institution a constaté que le nombre d’études scientifiques et de projets cliniques, qui portent sur les médecines douces, était en augmentation. Ces travaux se sont également intéressés à l’efficacité des traitements à base de plantes.

Médecines douces : le point sur les principales thérapies complémentaires

Il est temps de faire le point sur les principales branches des médecines alternatives. On va tenter de les définir et de souligner leurs bienfaits pour l’organisme et pour l’esprit.

L’homéopathie : c’est quoi ? Quels sont ses bienfaits ?

L’homéopathie est l’une des pratiques les plus connues des médecines non conventionnelles. Dans le monde entier, des naturopathes, des médecins et d’autres professionnels de la santé y ont recours.

Son étymologie provient de deux mots grecs : homoios (semblable) et pathos (maladie). Mise au point par le médecin allemand Samuel Hahnemann il y a plus de 200 ans, c’est une médecine holistique. En d’autres termes, elle se penche sur la personne dans sa globalité.

Pour les homéopathes, une maladie est le résultat d’un déséquilibre au sein de l’organisme. Celui-ci tente donc de se rééquilibrer à travers l’expression de ses maux et des différents symptômes d’une maladie donnée. Aussi, le travail d’un homéopathe consiste à aider le corps à retrouver son harmonie.

Dans le monde, plus de 200 millions de personnes ont recours à l’homéopathie. Dans l’Hexagone, c’est à partir de 1965 qu’elle a été reconnue en tant que discipline médicale à part entière.

Les principes sur lesquels repose l’homéopathie

Il existe trois principes sur lesquels la discipline repose. Il y a, tout d’abord, celui de la similitude. Il se base sur la maxime d’Hippocrate “Similia similibus curentur”. Cela signifie “le semblable soigne le semblable”.

En termes plus simples, la similitude part du principe qu’un individu sain développe certains symptômes lorsqu’on lui administre, en grande quantité, une substance donnée. En utilisant cette même substance mais en petite quantité chez un individu malade, celui-ci finit par guérir.

Ensuite, on trouve le principe de la loi de l’individuation. Ici, on prend en compte ce qui caractérise chaque personne par rapport à une autre. En fait, on part du principe que chacun réagit différemment à un traitement donné. Ainsi, dans le cadre de cette loi, on aborde une approche différente : on ne s’attaque pas à la maladie, mais on commence plutôt par étudier les spécificités de chaque patient.

Enfin, l’homéopathie repose sur le principe de la dilution infinitésimale. Elle porte sur la préparation des solutions administrées aux patients. Concrètement, il s’agit de diluer des substances toxiques, ce qui permet de retirer les principes actifs nocifs.

L’homéopathie et ses innombrables bienfaits

En tant que médecine complémentaire et alternative, l’homéopathie apporte un bon nombre de bienfaits à l’organisme.

Une solution naturelle pour soigner le rhume

L’homéopathie est une excellente solution naturelle qui permet de traiter et de soigner le rhume. Bien entendu, il faut tenir compte des troubles constatés pour garantir l’efficacité du traitement. Pour soulager un nez bouché et réduire les éternuements, c’est la Nux vomica 5CH qui est utilisée. Fabriquée à partir de la noix vomique, elle est également efficace contre les nausées.

Pour sa part, Cina maritima 5CH est conseillée pour soulager les démangeaisons excessives du nez. Pour traiter l’écoulement nasal, on a plutôt recours à l’Allium cepa 4CH.

Une meilleure qualité de sommeil

Des études scientifiques ont montré que l’homéopathie aide à traiter les problèmes d’insomnie et de manque de sommeil. Selon ces travaux, les individus ayant suivi un traitement à base d’homéopathie ont pu dormir plus longtemps. Leur sommeil était de meilleure qualité.

La perte de poids

L’homéopathie est également recommandée pour stimuler la perte de poids. À titre d’exemple, à travers des traitements à base de Ignatia Amara 7 CH, le sentiment constant de faim se manifeste moins souvent. Les patients seront donc moins tentés par le grignotage.

Bien entendu, l’homéopathie présente d’autres bienfaits pour le corps : réduction des effets secondaires des traitements du cancer, traitement des diarrhées, soulagement des symptômes de l’arthrose, réduction du temps d’infection par la grippe, soulagement des douleurs dentaires, des symptômes de la ménopause, du syndrome prémenstruel…

Naturopathie : c’est quoi ? Quels sont ses bienfaits ?

La naturopathie est reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en tant que médecine traditionnelle à part entière. Elle figure donc dans le même classement de la Médecine Ayurvédique et de la Médecine Traditionnelle Chinoise.

Là encore, il s’agit d’une discipline holistique : le traitement est prescrit sur la base des spécificités de la personne et non des symptômes de la maladie. En fait, la naturopathie est préventive. L’objectif est de protéger la santé et de rééquilibrer le corps à travers des solutions naturelles.

Une médecine douce préventive et thérapeutique

Dans cette optique, un naturopathe travaille surtout sur le renforcement des capacités d’auto-guérison d’une personne. Pour ce faire, il mise sur les points forts du patient, tout en essayant de réduire ses faiblesses. Il commence par établir un bilan de vitalité qui permet de mesurer la vitalité de la personne.

Outre son aspect préventif, la naturopathie est également une thérapie alternative. De fait, elle permet aux patients de se rétablir après avoir contracté une maladie donnée. Le naturopathe incarne aussi le rôle d’un éducateur de santé. Il fournit des conseils pratiques en matière d’hygiène de vie, ce qui permet au patient de fortifier sa santé.

Les principes fondamentaux de la naturopathie

Il existe 4 principes fondamentaux sur lesquels la discipline est basée.

« Ne pas nuire » ou « Primum non nocere »

Celui-ci découle de la célèbre maxime d’Hippocrate. Selon le médecin grec, il faut faire le bien ou, à défaut, essayer de ne pas nuire lorsque l’on se retrouve face à une maladie. Dans cette optique, le naturopathe se concentre sur les symptômes en veillant sur leur atténuation.

Mais attention : il ne s’agit pas de les supprimer. Le principe du “Primum non nocere” préconise une “mise sous silence” de la maladie. En effet, une suppression totale des symptômes, selon le même scientifique, risque de pousser la maladie à se manifester ailleurs dans le corps.

« La nature détient son propre pouvoir de guérison »

Ce principe est appelé “Vis medicatix naturae”. Il signifie que la nature a déjà doté le corps humain d’une capacité d’auto-guérison. Celle-ci repose sur les forces de vie. Aussi, un naturopathe donne au patient la possibilité de solliciter ces capacités.

« La découverte et le traitement de la cause »

« Tolle causam » est un autre principe de la naturopathie que l’on doit à Hippocrate. Dans ce contexte, le spécialiste essaye, méthodiquement, de remonter à la cause première de l’apparition des symptômes.

Il s’agit de définir la cause, puis la cause de la cause, ensuite la cause de la cause de la cause… et ainsi de suite. Le but est de faire en sorte que le symptôme soit réduit au silence.

« L’enseignement »

Enseigner, ou « Docere », est l’une des bases fondamentales de la naturopathie. Le professionnel enseigne à son patient les manières de prendre soin de lui-même et de sa santé. Il agit, ainsi, sur sa capacité d’auto-guérison que ce soit sur le plan mental ou physique.

La naturopathie et ses nombreux bienfaits

En tant que médecine alternative, la naturopathie présente une multitude de bienfaits pour l’organisme. Le naturopathe peut recourir à différentes méthodes : aromathérapie, nutrition, jeûne, gemmothérapie…

Renforcement du système immunitaire

En réduisant les symptômes des maladies, la naturopathie permet de renforcer le système immunitaire. Elle implique aussi des changements au niveau du régime alimentaire.

La perte de poids

La naturopathie est aussi un bon moyen qui permet de perdre du gras. Pour ce faire, le professionnel va prendre en charge le patient sur le plan physique et alimentaire. De cette façon, celui-ci sera amené à changer ses habitudes culinaires et à améliorer son hygiène de vie.

L’arrêt du tabac

En suivant un traitement naturopathique, il est tout à fait possible d’arrêter le tabac. Dans cette optique, le naturopathe propose des solutions pour aider les patients à arrêter de fumer. Il peut préconiser le Kudzu. En stimulant la production de dopamine – hormone du bonheur -, celui-ci aide à réduire la dépendance.

Une solution pour soulager l’arthrose

Pour réduire les douleurs liées à l’arthrose et les différents symptômes, le naturopathe propose le recours à certaines plantes spécifiques, à l’instar du gingembre et de la griffe du diable (Harpagophytum). Il peut aussi conseiller un changement au niveau du régime alimentaire, ce qui devrait permettre de réduire les risques d’inflammation.

L’art-thérapie : c’est quoi ? Quels sont ses bienfaits ?

L’art-thérapie est l’une des formes de la psychothérapie. Elle consiste à stimuler les capacités créatives de l’individu à des fins curatives. Il s’agit de l’amener à pratiquer des activités stimulantes, comme le dessin, la danse ou le collage. L’objectif est de lui permettre d’établir une connexion avec sa vie intérieure, à savoir son inconscient, ses rêves ou ses sentiments.

L’art-thérapie s’est avérée très efficace pour le traitement des difficultés de communication, notamment lorsqu’il s’agit de jeunes patients.

Les pratiques de l’art-thérapie

Il existe plusieurs disciplines auxquelles les art-thérapeutes ont recours pour soigner leurs patients.

Le théâtre

Le théâtre offre un champ d’intervention très large. À titre d’exemple, le patient communique avec lui-même en utilisant des marionnettes. Il invente alors un dialogue et des situations dans lesquelles il peut se projeter. C’est un exercice très répandu qui permet d’entrer en contact avec l’être.

La musique

La musique est un art qui a toujours eu la vertu de guérir les âmes perdues. Les professionnels de l’art-thérapie en sont conscients. Il s’agit, concrètement, de la musicothérapie. Elle permet d’accéder aux émotions de l’individu tout en lui permettant de les évacuer.

Lorsque le patient écoute de la musique, il s’agit d’une musicothérapie réceptive. Elle devient active lorsqu’il interprète lui-même un morceau musical. Cette pratique est très sollicitée pour la prise en charge des autistes et des personnes anxieuses.

La chorégraphie

La danse est un autre champ d’application de l’art-thérapie. Ici, l’expression des émotions se fait à travers le corps. Un patient, en dansant, peut exprimer sa joie, mais aussi évacuer sa colère, son anxiété…

Les arts plastiques

Ici, on parle de collage, de poterie, de peinture… Les outils d’expression sont nombreux. Leur objectif est le même : stimuler la créativité du patient pour l’aider à mieux exprimer ses émotions, les maux de son âme et ses sentiments positifs.

Pour lire dans l’âme de son patient, l’art-thérapeute effectue une analyse des couleurs utilisées, des formes et des structures de l’espace.

L’art-thérapie et ses nombreux bienfaits

Les bienfaits de l’art-thérapie sont essentiellement psychologiques. Une étude a été menée auprès de 40 personnes âgées entre 70 et 97 ans ayant suivi une art-thérapie. Elle a mis en évidence une amélioration au niveau de la qualité de vie.

La discipline constitue aussi un excellent moyen d’évacuer le stress et l’anxiété. C’est, d’ailleurs, ce qu’a démontré une autre étude menée auprès de 36 étudiants en sciences infirmières. Après avoir suivi des pratiques art-thérapeutiques, ils ont réussi à exprimer des émotions positives.

Aide aux enfants souffrant d’asthme et aux personnes atteintes de cancer

D’autre part, il est également possible de recourir à l’art-thérapie pour aider les enfants souffrant d’asthme. Une étude datant de 2010 a démontré que la qualité de vie des 22 enfants suivis s’est améliorée grâce à une pratique hebdomadaire d’art-thérapie (7 semaines).

En 2010, des travaux scientifiques ont permis de mettre en exergue les effets positifs de la guérison par l’art sur les patients atteints de cancer. Là encore, leur niveau d’anxiété et de dépression a significativement diminué.

La sophrologie : c’est quoi ? Quels sont ses bienfaits ?

La sophrologie est une pratique qui touche le fond de l’esprit et du corps des patients. Les sophrologues leur enseignent des techniques de relaxation qui permettent de développer la sérénité, le bien-être afin d’améliorer l’existence en général.

Cette branche des médecines alternatives peut parfaitement convenir aux enfants. En fait, il s’agit d’un outil de développement personnel par excellence. D’ailleurs, plusieurs sportifs de haut niveau y ont recours.

À travers la sophrologie, les pratiquants apprennent à mieux se connaître, à renforcer leur confiance en soi et à entretenir l’espoir qui anime leurs âmes tout au long de leur existence.

Les principes fondamentaux de la sophrologie

La sophrologie est basée sur 4 principaux piliers. En premier lieu, on trouve l’action positive. Elle stipule que les agissements positifs impactent positivement l’intégralité de l’être. Cela implique l’adoption de nouvelles habitudes saines, ce qui permet, entre-autres, d’améliorer le sentiment de bien-être.

Cette branche de la médecine douce repose aussi sur le schéma corporel. Celui-ci sert de base pour le travail des sophrologues. À travers ce principe, les professionnels aident leurs patients à mieux sentir et à mieux percevoir leurs corps.

Arrive, ensuite, la réalité objective. Celle-ci est pratiquée par le biais du développement personnel. Enfin, la sophrologie repose sur le principe de l’adaptabilité. Cela signifie que le sophrologue doit s’adapter à la réalité et aux caractéristiques des personnes avec lesquelles il compose.

La sophrologie et ses innombrables bienfaits

En tant qu’une thérapie alternative, la sophrologie est conseillée pour, entre-autres, améliorer la qualité du sommeil. Elle permet de soulager les troubles légers et de lutter contre l’insomnie. Pour ce faire, des exercices de respiration et de détente sont pratiqués par les patients.

Elle est idéale pour les femmes enceintes, les seniors et les adolescents

La sophrologie est également conseillée pour les femmes enceintes. Elle les aide à mieux gérer les derniers mois de grossesses. Elle leur permet aussi d’accoucher en douceur et en toute sérénité. De plus, les futures mamans seront mieux préparées à affronter les changements physiques liés à la grossesse.

Pour les seniors, la sophrologie est un moyen de mieux vivre la vieillesse et de gérer ses effets sur le corps. Elle leur permet, à titre d’exemple, d’améliorer la qualité du sommeil, de réduire les risques de dépression, de perte de mémoire et de limiter les douleurs chroniques.

D’autre part, les sophrologues peuvent accompagner les adolescents pour mieux gérer cette période spéciale de leur vie. Le but est de les aider à mieux gérer le stress, les émotions fortes, le mal-être, les difficultés à s’endormir, etc.

Soulignons, enfin, que la sophrologie est une manière efficace de réduire les douleurs du dos, du ventre et de la tête. Cela passe par un grand travail spirituel.

La réflexologie : c’est quoi ? Quels sont ses bienfaits ?

La réflexologie est une autre branche très connue des médecines alternatives. Elle peut être plantaire ou palmaire. L’objectif, dans les deux cas, est le même : permettre au patient de ressentir une détente profonde. À l’exemple des naturopathes et des sophrologues, les réflexologues s’adaptent aux caractéristiques de chaque patient.

Là encore, il s’agit de stimuler les capacités d’auto-guérison de la personne. Pour y arriver, les spécialistes procèdent à des pressions précises et expertes sur des parties bien définies du corps. Il peut s’agir des mains, des oreilles, des pieds… En fait, ces points sont liés à des fonctions spécifiques de l’organisme. Ils peuvent aussi être liés à d’autres organes.

Réflexologie plantaire et palmaire : c’est quoi ?

La réflexologie plantaire est très courante dans la médecine douce. Les points de pression s’exercent essentiellement au niveau du dessous des pieds (pour les organes internes) et au niveau supérieur de la face ventrale. Chaque point est connecté à une partie spécifique. À titre d’exemple, le pied gauche est lié aux organes de la partie gauche de l’organisme, et vice-versa.

À travers la réflexologie palmaire, les mains sont considérées comme les miroirs du corps. Les zones de réflexe sont également accessibles au niveau de la paume des mains, des doigts et dans la partie supérieure des mains.

La réflexologie et ses bienfaits

Grâce à la réflexologie, il est possible de soulager certaines douleurs ostéo-musculaires, les douleurs cervicales et les maux du dos. Il s’agit, également, d’une façon qui aide à améliorer le fonctionnement des organes internes du corps. D’autre part, la discipline peut aider à améliorer la circulation sanguine. C’est, aussi, un excellent moyen de détente.

Fleurs de Bach : c’est quoi ? Quelles sont les indications ?

À travers les fleurs de Bach, les spécialistes ont recours à des élixirs floraux. Ces derniers permettent d’évacuer les émotions négatives et d’améliorer l’humeur du patient. L’objectif principal consiste à l’aider à faire face à ses problèmes, tout en les considérant de manière positive.

Les indications des fleurs de Bach

Le recours aux fleurs de Bach est prescrit pour des cas bien précis. C’est une façon naturelle et efficace qui permet de réduire la dépendance à l’alcool. Sur le plan émotionnel, la discipline est indiquée pour traiter les cas de jalousie, de culpabilité, de dépression et d’anxiété.

Il n’existe pas de contre-indications particulières. Même les femmes enceintes peuvent y recourir. Toutefois, il convient de faire appel à un spécialiste car le choix et le mélange des essences nécessitent un certain savoir-faire.

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